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La page du recours collectif autorisé en 2022
« Action pour faire déclarer que le gouvernement fédéral a l'obligation de protéger les terrains riverains du fleuve Saint-Laurent dans les municipalités de Varennes, Verchères et Contrecoeur contre l'érosion causée par les vagues des bateaux circulant dans le chenal du fleuve Saint-Laurent en front de ces trois municipalités et pour faire condamner le gouvernement fédéral à payer le coût des ouvrages de protection requis contre l'érosion. »
Numérisation disponible en ligne de cette production VHS Alain Decaux nous parle des colonies Française, agrémenté par ses propres souvenirs.
Connaissez-vous réellement les souterrains de Montréal? Pas le Montréal souterrain et son réseau piétonnier, mais les vraies entrailles de Montréal… Certaines ont des milliers d’années, d’autres un…
Texte du Comité ZIP du lac Saint-Pierre sur le statut du martinet ramoneur et les inventaires à leur sujet.
Reports of Bigfoot rise when at least 900 black bears are in the area
Where black bears are abundant, Bigfoot sightings usually follow – which could make reports of the mythical creature a way to measure American black bear populations
«Up on the Mountain is a documentary film that follows commercial mushroom pickers as they struggle to access public lands in the American West. A great companion to Anna Tsing's "A mushroom at the end of the world."»
« Sur la montagne », de Olivier Matthon et Michael Reis, 2021, 101’
Dans les forêts publiques de l’Ouest américain, des réfugiés d’Asie du Sud-Est, des migrants latino-américains, et des ruraux américains se déplacent toute l’année pour récolter des champignons sauvages. Ils travaillent à pied, simplement équipés d’un seau et d’un couteau de poche. La récolte des champignons leur permet d’être “leur propre patron”. La durabilité environnementale de cette activité est reconnue, pourtant ces travailleurs, qui approvisionnent les restaurants et les marchés d’Europe, du Japon et d’Amérique du Nord, se voient régulièrement refuser l’accès à leurs lieux d’activité.
Superbe documentaire sur les amphibiens et reptiles du Québec, disponible en location sur Vimeo. Hautement recommandé!
« Dans un profond sommeil depuis plusieurs mois sont les amphibiens et les reptiles du Québec. De toutes les espèces animales, elles sont parmi les plus discrètes et les plus méconnues. Leur histoire commence à la fin de l’hiver, dès la fonte des neiges. Voyez-les à travers toutes les étapes de leur vie en survolant les quatre saisons. Découvrez leurs luttes, et leur réalité qui change drastiquement sous notre influence. »
Le système Total, anatomie d’une multinationale de l’énergie, ce documentaire choc librement inspiré de l’ouvrage De quoi Total est-elle la somme ? Multinationale et perversion du droit d’Alain Deneault – publié aux éditions Rue de l’échiquier et Écosociété – est une réalisation de Jean-Robert Viallet et Catherine Le Gall et produit par ARTE France et Morgane Productions – 2022
The Loyalists of Sorel, first published in The Loyalist Gazette, June 1985 at pp. 6-7
Le film «Équinoxe» de Athur Lamothe 1986 est un «drame criminel» dont l'histoire se passe dans les îles de Sorel. Le film, présenté comme un «conte poétique et un thriller psychologique», utilise les chenaux, les baies, les maisons des îles (la maison d'Henri Letendre sur l'île de Grâce) et le restaurant Corona Beauchemin à Sainte-Anne de Sorel comme contexte pour un mélange de réflexions philosophiques et poursuites de malfaiteurs en canot et en yachts. «...cet univers inachevé fait d'îles et de chenaux, de forêts à explorer, de mers de joncs et de rigolets, et qui me paraissait alors, avec sa faune ailée et aquatique, être le dernier refuge de la genèse du monde.»
C'est à Hull (Gatineau) que Gilles Vigneault à composé «Les gens sont malheureux tout le temps».
En février 2022, des chercheurs de l’UQTR et d’autres organisations ont passé quelques jours sur la surface gelée du lac Saint-Pierre, afin d’y récolter différentes données. Ces scientifiques espèrent ainsi en apprendre davantage sur les interactions entre la glace et la végétation aquatique, un sujet encore peu étudié. Ils souhaitent aussi améliorer les connaissances à propos de l’influence des relations plantes-glace sur les risques d’inondation.
"L'idée initiale vient du Japon, raconte M. Dhion. Le professeur Miyawaki est allé chercher des graines d'arbres dans les cimetières japonais, parce que ce sont des lieux sacrés et qu'on y trouvait des essences indigènes du Japon."
L'équipe de l'OBNL Hyf Forêts urbaines a elle aussi sélectionné une vingtaine d'espèces indigènes à planter à Boisbriand. "Il y aura plusieurs espèces d'érables. Pour les conifères, on va mettre du pin blanc, de l'épinette, du mélèze", explique Charles Marty, membre de l’organisme, qui est aussi chercheur en écologie forestière à l'Université du Québec à Chicoutimi. Le petit espace comptera également de nombreux arbustes et des arbres fruitiers.
Association proposant la plantation de mini-forêts en milieux urbains et semi-urbains, semble vraiment intéressant je dois regarder ça.
C’est avec grand intérêt que j’ai lu cet article, Imperial Entomology : Boris P. Uvarov and Locusts, c.1920-c.1950 de Michael Worboys.
« Claude Peloquin has argued that the drive for locust control exploited a particular conjunction of interests: it ‘called for precisely the type of international, federal, and techno-political apparatus that was necessary to legitimize the role of Free France at the head of the remaining French empire, and as the node linking the colonies with the other Allied countries’. Uvarov represented Britain. He was critical of the response in French colonies and urged the adoption of a more ‘generalised fight’, using military personnel and poisons. He cited British, MEALU-led operations as a model. After some hesitance, the French delegates, keen to have British support, agreed to adopt stronger measures and establish an Office national anti-acridien (ONAA).Peloquin argues that the CFLN compromised because they wanted not just Allied practical support, but recognition of their political legitimacy, which was ‘best achieved by approval of the entomologist representing Great-Britain, at this instance, Boris Uvarov’. »
Je ne peux que renchérir les propos de Worboys en mentionnant quelques hypothèses. À faire.
Mon article sur le projet (abandonné) de creuser un chenal droit dans la partie sud du Lac Saint-Pierre au 19e siècle, récemment publié dans la revue Histoire Québec. Une autre version de ce texte est en préparation pour publier sur ce site.
Péloquin, Claude. « Le chenal droit du lac Saint-Pierre (1844-1847). » Histoire Québec, volume 28, numéro 1, 2022, p. 34–36.
«Au moment de l’annonce de la PNAAT par la ministre, tout le monde était content. Même les unions municipales. Même les entreprises. Même les promoteurs immobiliers. Ça m’inquiète.» La ministre Andrée Laforest déposera ce printemps le plan de mise en œuvre de la Politique nationale de l’architecture et de l’aménagement du territoire (PNAAT). L'ancien maire de Gatineau maintenant chroniqueur à la Presse Maxime Pedneaud-Jobin s'inquiète que si la mise en oeuvre de cette politique ne dérange personne ce sera parce qu'elle rate la cible.
Les observations faites par le Comité ZIP du lac Saint-Pierre au cours des dernières années ont permis l’observation de plusieurs obstacles qui freinent l’accès à la faune aquatique sur l’île. Cela est surtout dû à la présence d’infrastructures désuètes ou absentes et d’amas importants de branches et/ou de troncs d’arbres dans le lit des cours d’eau.
La mise en marche du projet de restauration de la connectivité du réseau hydrique de l’île de Grâce avec le lac Saint-Pierre a commencé en 2018 et s’est divisée en trois phases. Pour la phase 3 de ce projet qui consistait en la restauration de la libre-circulation de la faune aquatique, plusieurs travaux ont été effectués en 2022.
Le Comité ZIP du lac Saint-Pierre a procédé au remplacement de 7 ponceaux. Le retrait des ponceaux problématiques, la pose des nouveaux ponceaux ainsi que la confection du lien de terre entourant ceux-ci ont été effectués à l’aide d’une mini-excavatrice. Les extrémités des ponceaux ont été stabilisées à l’aide d’une toile géotextile et de pierres afin de limiter les risques d’érosion.
Morel raconte de l’intérieur la métamorphose de Montréal au 20e siècle, où le génie n’est ni civil ni industriel, mais profondément humain: c’est celui d’une communauté têtue, désordonnée, qui trouvera toujours le moyen de fleurir sur la rouille et le béton.