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Chronique portant sur un documentaire sur la Mission de l’Esprit-Saint, qui compte environ 2500 membres au Québec.
« Nous sommes des régions ressources. Le sud du Québec et le sud de l'Ontario viennent pomper littéralement les richesses du nord et ne nous donnent aucun service, aucun soutien, on ne peut pas se développer comme on le souhaite, alors, autant se séparer et se gouverner nous-mêmes »
un prix portant le nom de Lionel Groulx n’est pas toujours facile à financer.
GD-OTS compte environ 500 employés à Salaberry-de-Valleyfield, dont quelque 350 syndiqués. Le complexe a été construit en 1940, au début de la Seconde Guerre mondiale. Dans la province, GD-OTS exploite aussi des usines à Repentigny et à Saint-Augustin-de-Desmaures, près de Québec. Le groupe produit mensuellement plusieurs milliers d’obus de 155 mm au Québec.
Entrevue avec le fameux « Pro des DVD» publiée dans le Journal de Montréal la semaine dernière
«Plusieurs films sont impossibles à trouver sur les plateformes en ligne»
La Gazette de Québec, le premier périodique du Québec fondé en 1764, décide de publier deux articles en 1766 et 1767 portant sur un loup-garou qu’on aurait supposément vu rôder entre la capitale et Kamouraska. D’où vient ce monstre?
Un numéro de la revue Histoire Québec sur le thème « La rivière des Outaouais : de la réalité à la légende », paru en 2005.
Avec la Transition énergétique, on assiste pour la première fois à une collusion idéologique entre l’« écologie » et l’industrialisation au service du capital. Ce constat démontre la nécessité de revoir l’articulation du projet politique de la gauche selon la présente conjoncture. Texte de Cynthia Morinville, professeure au Département des sciences de l’environnement à l’Université du Québec à Trois-Rivières.
Retourner les pierres. C’est le titre du recueil, dont le tiers des dix-neuf textes sont des inédits, que fait paraître Yvan Lamonde, l’historien québécois le plus stimulant de sa génération. L’opération de retournement des pierres qu’il propose n’est pas sans rappeler la phrase de l’essayiste Pierre Vadeboncoeur, qu’il a abondamment étudié : « Il faut renverser les monuments pour voir les vers qui grouillent. »
« Sociologie libre et mauvaise conscience », texte qui complémente fort bien la réception non-critique qu'on a pu lire ou entendre ces derniers mois à propos du livre « Rue Duplessis : ma petite noirceur» dans l’univers médiatique québécois.
Un mont, des parcs, un lac, plusieurs rues, chemins et sentiers, et même un trou, ont officiellement hérité d’un nom en 2023. La Commission de toponymie du Québec a choisi 12 finalistes pour son concours annuel, avec plusieurs toponymes qui puisent dans la langue de la Nouvelle-France. Voici quelques-uns des noms retenus.
C’est à une fascinante exploration de l’« histoire connectée » entre le Québec et l’Inde, depuis la Conquête de 1760 jusqu’à l’indépendance indienne, en 1947, que nous invite le spécialiste de l’Asie Serge Granger, de l’Université de Sherbrooke. Il donne à voir la richesse d’échanges insoupçonnés entre deux peuples que tout éloignait — la géographie, la religion, la démographie —, mais que l’état de colonisé réunit.
Les auteurs Pierre Lavoie et Jean-François Harvey plaident pour un plan national visant à remettre les jeunes en forme.
(....) une « concentration » en sports — où les jeunes pratiquent plusieurs disciplines de façon récréative — est préférable à un programme sports-études consacré à un seul sport d’élite. « Les jeunes se tannent d’avoir de la pression pour monter sur le podium. Ça les fait décrocher du sport », raconte-t-il.
Le sportif prône des programmes inclusifs, accessibles à tous les jeunes, peu importe l’épaisseur du portefeuille des parents. Cela exclut entre autres les programmes de hockey ou de ski alpin, qui coûtent une fortune en équipements et en frais de déplacement.
« Le sport d’élite ne rejaillit pas significativement sur le sport de masse ni sur la santé physique et mentale de la population », écrivent les auteurs.
Olivier Bourque : «Documents et courriels seulement en anglais, français absent lors de réunions, manque de considération envers les francophones, la langue de Shakespeare domine au sein de la corporation qui gère la voie maritime du Saint-Laurent (CGVMSL).»
Connaissez-vous réellement les souterrains de Montréal? Pas le Montréal souterrain et son réseau piétonnier, mais les vraies entrailles de Montréal… Certaines ont des milliers d’années, d’autres un…
Texte du Comité ZIP du lac Saint-Pierre sur le statut du martinet ramoneur et les inventaires à leur sujet.
Superbe documentaire sur les amphibiens et reptiles du Québec, disponible en location sur Vimeo. Hautement recommandé!
« Dans un profond sommeil depuis plusieurs mois sont les amphibiens et les reptiles du Québec. De toutes les espèces animales, elles sont parmi les plus discrètes et les plus méconnues. Leur histoire commence à la fin de l’hiver, dès la fonte des neiges. Voyez-les à travers toutes les étapes de leur vie en survolant les quatre saisons. Découvrez leurs luttes, et leur réalité qui change drastiquement sous notre influence. »
The Loyalists of Sorel, first published in The Loyalist Gazette, June 1985 at pp. 6-7
Mon article sur le projet (abandonné) de creuser un chenal droit dans la partie sud du Lac Saint-Pierre au 19e siècle, récemment publié dans la revue Histoire Québec. Une autre version de ce texte est en préparation pour publier sur ce site.
Péloquin, Claude. « Le chenal droit du lac Saint-Pierre (1844-1847). » Histoire Québec, volume 28, numéro 1, 2022, p. 34–36.
«Au moment de l’annonce de la PNAAT par la ministre, tout le monde était content. Même les unions municipales. Même les entreprises. Même les promoteurs immobiliers. Ça m’inquiète.» La ministre Andrée Laforest déposera ce printemps le plan de mise en œuvre de la Politique nationale de l’architecture et de l’aménagement du territoire (PNAAT). L'ancien maire de Gatineau maintenant chroniqueur à la Presse Maxime Pedneaud-Jobin s'inquiète que si la mise en oeuvre de cette politique ne dérange personne ce sera parce qu'elle rate la cible.